L’éternelle question de l’inégalité de la répartition des tâches ménagères dans les couples ne cesse de faire couler d’encre et de salives. Pour aller plus loin, diverses études et enquêtes ont soulevé une corrélation entre la vigueur sexuelle et le rôle que joue l’homme dans la répartition des tâches ménagères. A regarder de près, on peut se demander la relation qui peut exister entre le ménage et la vigueur sexuelle des hommes. A l’évidence, cela semble bien anodin.
Et Pourtant!
Selon plusieurs magazines de sociologie, les hommes qui passent du temps à la cuisine ou qui aident leur femmes au ménage sont de moins bons amants que ceux qui se concèdent les tâches conventionnelles dites masculines. La logique suivie par ces magazines dénude certaines personnes. En effet, plus les hommes cuisinent ou font différentes courses pour la maison, moins ils ont de relations sexuelles. Mais c’est le contraire lorsqu’ils sont actifs pour les tâches plus courantes comme le jardinage. Nous pouvons donc penser que les rôles traditionnellement attribués aux chaque membre d’un couple influences quelque peu leur vie sexuelle.
En 2013, l’institut Juan March de Madrid s’est penché sur la question et les conclusions ont été plus que surprenantes. Même si l’étude n’a été réalisée avec un questionnaire rempli par 7002 personnes, elle a eu le mérite de renseigner l’opinion publique sur l’importance du rôle de l’homme dans un couple. Mais paradoxalement ?
Quoi qu’il en soit, M.Kornrich co-signataire de l’étude avec les sociologues de l’université de Washington Julie Brines et Katrina conseille vivement aux hommes de participer aux tâches ménagères. Car, refuser de le faire sous prétexte que celles-ci diminuerait leur vigueur sexuelle provoque des tensions et l’insatisfaction des épouses.
La répartition des tâches ménagère, garante de la stabilité des couples ? La réponse reste relative.